Soft Brexit, renforcement du protectionnisme aux Etats-Unis et en Chine, tensions politiques en Italie… Ces événements ont marqué cette semaine, sans pour autant provoquer de vent de panique sur les marchés financiers.
Pourtant, on pourrait facilement supposer que ces facteurs de risque auraient été de nature à déstabiliser des marchés financiers toujours très réactifs aux situations d’incertitude.
Mais, une fois n’est pas coutume, ceux-ci semblent plus se focaliser sur la partie pleine du verre et valoriser pour le moment les perspectives de croissance mondiales potentielles portées par des indicateurs économiques toujours assez robustes. Bien sûr ces bons résultats sont toujours dus en grande partie à la facilité d’accès au crédit des entreprises, facilités directement liées à la politique monétaire des banques centrales.
Par conséquent dans un climat plutôt agité, il reste peu probable que le (vrai) resserrement monétaire ait lieu d’ici la fi n de l’année, sous peine de connaitre un (vrai) ralentissement économique.
Restons tout de même optimistes, les prévisions des analystes financiers valent bien les prévisions des supporters français de foot dont le consensus faisaient ressortir une nouvelle victoire pour la
France !